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 El arbial do orgena

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MessageSujet: El arbial do orgena   El arbial do orgena EmptyMer 25 Fév - 20:49

Bon moi c'est pas une fanfiction du tout, en fait j'essaye XD d'écrire un livre j'aimerai bien avoir vos impression ^^


Prologue


Tout provient de là, de cette immense forêt coupé du monde. Au plus profond, vers l’endroit le plus sombre et le plus étouffant de ce bois se trouvait une clairière possédant un unique arbre d’une grande majesté en son centre. Cet Arbre était beaucoup plus grand que la normale, son tronc était d’un noir d’obsidienne ainsi que ses branchages. Aux extrémités de ses branches se trouvait non pas des feuilles mais des fleurs d’un blanc aussi pur et blafard que le marbre. Accroché à certaines branches de monstrueux blocs de roches semblaient peser sur l’ossature du végétal. Ces blocs de roches étaient soit d’un violet d’Améthyste, soit d’un rouge rubis et certains qui étaient beaucoup plus petit que leur frères, mais très rarement, semblait peint d’un couche blanchâtre sur lesquels on avait fait éclaboussé un liquide noir et un liquide rouge. Il étaient de forme cubique et n’était rattachés aux ramures de l’arbre que par de minuscule fils pouvant recouvrir toute une face du cube. La clairière, quand à elle, semblait figée dans le temps, pas un souffle de vent ni d’animaux. Le seul bruit pouvant percer ce silence ne venait que très rarement : lorsqu’un des cubes semblait « mur », c'est-à-dire lorsqu’un des cubes violets avait atteint une couleur d’un rouge éclatant, et qu’il choyait durement vers le sol. Mais aujourd’hui, des bruits de pas venaient de pourfendre le silence lorsque trois hommes drapés de longues capes noires tachées de sang pénétrèrent dans l’espace vide. Des épées pendaient à leur taille et l’on pouvait penser qu’elle avait récemment servies vu les petites goutes de sang qui dégoulinait de leur pointes. Arrivés au pied de l’Arbre, les deux hommes entourant la troisième s’agenouillèrent tandis que ce dernier sorti son épée et la planta juste devant le tronc puis parla d’une langue ancienne et mélodieuse …
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MessageSujet: Re: El arbial do orgena   El arbial do orgena EmptyLun 2 Mar - 15:58

Merci onee-san ^^

voila le chapitre 1 ^^

Chapitre 1
Le Son Lointain

Avant je me réveillai tous les jours à la même heure sauf le week end, et cette heure, qui était symbolique pour moi, signifiait qu’il fallait se lever pour partir en cours. Mais cette année c’était différent, cette année je ne vais plus pouvoir dormir autant car je dois partir au lycée et que le lycée, contrairement au collège se situait loin de mon village. En effet, du haut de mes 15 ans, je devais continuer mes études dans un autre établissement et pour cela je devais me réveiller plus tôt pour prendre le train.
Comme d’habitude mais au moins une heure plus tôt, je me levai et cherchai, à tâtons, l’interrupteur de ma chambre pour pouvoir me préparer. Une fois celui-ci trouvé, je l’actionnai et je me remis un peu les idées en place en inspectant ma chambre à la recherche de mon sac que j’avais balancé négligemment la veille en allant me coucher.
Ma chambre était assez grande et la décoration assez simple, les seuls couleurs présentes étaient le noir, le rouge et le blanc voir le beige. J’adorai ces trois couleurs et ma chambre reflétait parfaitement mes gouts. Après avoir localisé mon sac, Je préparai mes affaires, m’habilla et m’observa dans ma glace. J’étais plutôt grand, j’avais un visage particulièrement fin et de long cheveux gris attaché, avec un ruban noir, en queue de cheval derrière, il y avait quand même deux mèches rebelles de chaque cotés de mon visage qui échappaient à mon contrôle. Puis je partis dans la cuisine pour manger. Comme d’habitude je mangeai seul, mon père était très souvent en voyages et ma mère s’était suicidée il y a 4 ans et mon père et moi n’avons toujours pas compris pourquoi. Une fois mon petit déjeuner englouti je me dirigeai, le sac sur l’épaule vers la porte d’entrée et la fermai derrière moi.
Le trajet en train ne dura pas longtemps et je m’installai donc tranquillement près de la vitre en attendant le départ quand soudain une mélodie étouffé emplit le wagon. Cette mélodie semblait provenir d’un instrument à cordes selon mes connaissances limitées en musiques. Je cherchai la personne responsable de cette musique. N’en trouvant pas l’origine, je décidai de regarder le paysage en l’écoutant. La musique continua comme ça jusqu'à la fin du trajet et lorsque je sorti du wagon je fus surpris de continuer à l’entendre et encore plus en voyant qu’aucun des passants ne semblaient se rendre compte que quelqu’un jouait, on aurait dit qu’ils étaient sourd. Mais lorsque j’arrivai près des escaliers menant à la sortie la mélopée s’arrêta. Mon nouveau lycée était réputé pour ses élèves excellents en mathématiques, physique chimie et S.V.T., ce qui était tout à fait mon cas, par contre dans les matières littéraires mes notes laissaient à désirer mais je n’y prêtais pas beaucoup attention. Je me rendis donc à l’intérieur en traversant la bande de fumeur qui occupait le trottoir. Après une longue recherche de mon prénom sur le panneau d’affichage je le trouvai :
Callisto Idverna 2nde 4, Salle 103 avec Mme Malen
Après avoir mémorisé le numéro de ma salle et le nom de ma professeure principal, je me rendis vers l’escalier, sachant déjà grâce à la journée porte ouverte du lycée que les salles 100 se trouvaient au 1er étage, puis me dirigea vers la salle affichant le numéro 103. Un groupe d’élèves s’était déjà installé en cercle près de la porte. Je m’accoudai au mur à l’exacte opposé de la salle et le plus loin possible de l’attroupement. Je n’étais pas timide ni extraverti, plutôt solitaire, je n’accordai ma confiance qu’à de rare personnes et je n’avais jamais eu de petite amie et ça n’était pas maintenant que ça allait changer pensai-je, la compagnie des autres ne m’est pas nécessaire. J’ai vécu de nombreuses années sans personnes et je m’en suis très bien sorti, leur présence ne m’a jamais rien apporté d’autre et ne m’apportera rien de plus. En tout cas, c’était le fond de ma pensée
Lorsque la sonnerie retentit, une dame assez corpulente mais à l’allure joyeuse nous ouvrit la salle et nous fit signe d’entrer. Comme à mon habitude lorsque j’étais au collège, je rentrai en dernier dans la salle pour aller m’asseoir à une table inoccupée. Mme Malen après avoir sorti quelques affaires de son sac nous souhaita la bienvenue et nous donna des papiers important à transmettre à nos parents et comme d’habitudes je dus expliquer ma situation familiale à l’institutrice. A part ça, la matinée se passa bien, tous les enseignant que j’eu ce matin nous expliquèrent le déroulement de leurs cours.
Midi passé et la sonnerie retentit pour la dernière fois de la matinée, Je rangeai mes affaires et me rendis vers la cantine. Elle était assez petite pour le nombre de lycéen que nous étions et je me dépêchai de manger. Mon repas fut assez mauvais et je me dépêchai de manger pour pouvoir quitter cet endroit où l’odeur de la graisse était omniprésente. Lorsque je sortis de la cantine pour aller me promener dans les rues j’eu la surprise de réentendre la litanie de ce matin et comme à ce moment là personne à part moi ne semblait l’entendre. Cette fois je l’entendais encore plus sourdement, comme si on en jouait beaucoup plus loin de moi que ce matin. Je n’y prêtai que peu d’attention cette fois ci et me replongea dans mes pensées en errant au hasard des rues et en attendant que la pause du midi passe. J’avais pour cela un bon moyen pour faire passer le temps : Mon MP3, j’appréciais énormément ce petit engin qui me permettait d’écouter la musique que je voulais n’ importe où.
Je repris les cours à 14 heures et ceci pour 4 heures. Comme ce matin, les professeurs nous informèrent du déroulement de leur cours. Lorsque la sonnerie résonna pour la dernière fois toute ma classe bougea d’un bloc, rangea ses affaires et se précipita vers la sortie. Je fis de même mais nettement plus lentement. Je repris le train pour rentrer chez moi en essayant de percevoir les notes jouées par ce mystérieux musicien mais je n’entendis absolument rien. A la fin du trajet, lorsque je pensais que je ne l’entendrai plus, je discernai une longue note d’un grave prononcé et qui cette fois n’était pas sourde et dont l’intensité me fit sursauter. Encore un peu assourdie par cette note je me dirigeai vers mon domicile et je n’aperçu pas l’homme qui, après cette note, fut agité de soubresaut et qui, semblant agité par une énergie anormale, se jeta sous les roues du train.
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